LA VIERGE MARIE T\'AIME

Un monde meilleur

 UN MONDE MEILLEUR

 

 

 « Un monde meilleur n’adviendra que s’il est construit sur les fondations solides de sains principes éthiques et spirituels. » Ecclesia in Africa no114 .

 

Aménagement de jardin : Le guide pratique

A partir d’une définition claire de la théologie morale sociale, nous montrerons son importance pour une existence plus heureuse en Afrique aujourd’hui.

 

PLAN

 

Introduction

 

I- Situation socio-politique et économique de l’Afrique

2.1- Situation sociale 

2.2- Situation politique

2.3- Situation économique

 

II-Théologie morale sociale

1- Définition

2- Les principes de la théologie morale sociale

 

III- Importance de la théologie morale sociale en Afrique en vue d’une existence plus heureuse

 

Conclusion

 

INTRODUCTION

            L'Afrique en dépit de ses richesses reste l’un des continents le plus pauvre du monde qui souffre de plusieurs fléaux entre autre : la mauvaise gouvernance, les injustices, les violences , la faim, problèmes liés au système éducatif, toutes difficultés qui rendent difficile le quotidien des populations. Cette paupérisation met parfois en mal le vivre ensemble en étant source de certains conflits.

Face à cette situation, certains penseurs estiment que le recours à la théologie morale sociale est un moyen pour sortir de l’Afrique de l’impasse pour une existence plus heureuse. fondamentale qui s'intéresse aux fondements de la morale, est invoqué par plusieurs penseurs, comme essentielle, pour le développement harmonieux de l’Afrique. Après avoir faire l’état des lieux de la situation sociopolitique de l’Afrique, nous donnerons une définition précise de cette théologie morale sociale, enfin son importance pour une existence heureuse en Afrique aujourd’hui.

 

 

1- SITUATION SOCIO-POLITIQUE ET ECONOMIQUE DE L’AFRIQUE

1-1- Situation sociale

            La situation sociale en Afrique reste encore fragile car confrontée à des guerres fratricides, des conflits tribaux. La famine, la peur, la maladie, sont autant de maux dans lesquels vivent tant de peuples africains. La précarité de l’éducation en générale et le manque de soins adéquats, les programmes scolaires ne sont parfois en conformité avec les réalités africaines, tendent à paralyser le système éducatif. La délinquance juvénile accompagnée d’un usage démesuré de la drogue constitue des facteurs qui banalisent la dignité de la personne humaine.

A cela s’ajoute les phénomènes des arnaqueurs et celui des migrants à l’intérieur comme à l’extérieur du continent à la quête d’une meilleure condition de vie sociale. C’est autant de difficultés qui retardent le développement du continent africain et ne permettent pas l’épanouissement plein et total de l’Africain.

 

1.2- Situation politique

            Sur le plan politique, plusieurs pays africains présentent une scène de théâtre où les acteurs jouent tous seuls et les spectateurs que représentent les citoyens sont obligés de rester là à toujours regarder. Dans cette optique, la liberté d’expression du peuple n’est pas toujours prise en compte par certaines autorités africaines qui n’hésitent pas à brandir des armes contre un peuple sans défense. A cela s’ajoute la prolifération des armes et les luttes armées font de l’Afrique un vaste domaine d’instabilité politique[1]. Le manque d’entente entre les classes politiques et le manque de désir des dirigeants de bien gouverné ne favorisent pas un développement harmonieux. Le problème de l’alternance au pouvoir et celui de la vérité des urnes, le non-respect de la constitution sont autant de facteurs qui plongent beaucoup d’Etats africains dans de grave crise politique. En outre, la plupart des dirigeants africains font passer les intérêts personnels au détriment des intérêts collectifs.

 

1.3- Situation économique

            Les conditions de vie désagréables de plusieurs peuples africains révèlent la situation économique de ces derniers. Or, le continent africain regorge des ressources humaines importantes qui sont en contraste avec l’état de misère en Afrique. Une mauvaise administration des  ressources disponibles, une mauvaise gestion financière, la corruption et le chômage constituent des causes de cette situation économique dégradante. Les richesses des pays sont partagées par une minorité[2] d’où une injustice économique caractérisée par des salaires injustes. Le pain quotidien devient difficile à trouver à cause d’un salaire dérisoire et d’un smic[3] ne pouvant pas couvrir les besoins primaires.

C’est sur cette situation de grande pauvreté, d’insécurité et de peines en Afrique que Ecclesia in Africa est revenu sur la situation en Afrique en son numéro 114. Ecclesia in Africa pour « Un monde meilleur n’adviendra que s’il est construit sur les fondations solides de sains principes éthiques et spirituels. » Après avoir faire l’état des lieux, que pouvons-nous dire de la théologie morale ? Que signifie-t-elle ?

 

2-THEOLOGIE MORALE SOCIALE

2-1.Définition

La morale sociale « est la section de la théologie morale à travers laquelle, l’Eglise mène une réflexion, sur la base de la révélation, les principes et les modalités d’une action sociale susceptible de contribuer au bonheur de tout l’homme »[4]. Par la morale sociale, « l’Eglise se propose d’assister l’homme sur le chemin du salut »[5]. Il s’agit de sa fin primordiale et unique. La morale sociale est la formulation précise des résultats d’une réflexion attentive sur les réalités complexes de l’existence de l’homme dans la société et dans contexte international, à la lumière de la foi et de la tradition ecclésiale.[6]

Le but de la  théologie morale sociale est d’étudier tout l’homme dans sa relation avec sa destinée, soit comme individu, soit comme être social. C’est pourquoi,  comme le souligne Jean Paul II elle se doit « d’interpréter les réalités, en examinant leur conformité ou leurs divergences avec orientations de l’enseignement de l’Evangile sur l’homme et sur sa vocation à la fois terrestre et transcendante ; elle a donc pour le but d’orienter le comportement chrétien ».[7]

 

 

 

2- Les principes de la théologie morale sociale

 

La charité : La charité est le plus grand commandement social. Elle respecte autrui et ses droits. Elle exige la justice et nous rend capables de la pratiquer. Elle inspire le don de soi, conformément à ce que dit le Seigneur dans l’Evangile : « Qui cherchera à conserver sa vie la perdra, et qui la perdra la sauvera ». (Lc 17,33)

L’option ou l’amour préférentiel pour les pauvres est une forme spéciale de priorité dans la pratique de la charité chrétienne dont témoigne toute la Tradition de l’Eglise. Elle concerne la vie de chaque chrétien en tant qu’il imite la vie du Christ.

 Mais elle s’applique également à nos responsabilités sociales, et donc à notre façon de vivre. Il s’agit d’un souci de justice, afin de permettre aux défavorisés d’entrer en possession du droit au nécessaire vital capable d’assurer leur subsistance. Le but de la charité est donc d’instaurer l’union avec Dieu et l’union avec les humains. De plus, Les hommes sont tenus de façon particulière à tendre continuellement vers la vérité, à la respecter et à l’attester de manière responsables.

La dignité de la personne humaine : La dignité de la personne humaine constitue un principe fondamental de l’ESE. En effet, l’objectif principal de l’Eglise c’est la recherche du bien de l’homme selon le dessein de Dieu. Il s’agit de rétablir l’homme dans sa dignité originelle. L’homme imago Dei.

L’homme chef-d’œuvre de Dieu et collaborateur du Créateur. « L'Eglise apporte et annonce aux hommes une conception toujours actuelle de la vie sociale. Suivant le principe de base de cette conception - comme il ressort de tout ce que Nous avons dit jusqu'ici, - les êtres humains sont et doivent être fondement, but et sujets de toutes les institutions où se manifeste la vie sociale. Chacun d'entre eux, étant ce qu'il est, doit être considéré selon sa nature intrinsèquement sociale et sur le plan providentiel de son élévation à l'ordre surnaturel ».

La solidarité : La solidarité (in solidum = pour le tout) est un lien social d'engagement et de dépendance réciproques entre des personnes ainsi tenues à l'endroit des autres, généralement des membres d’un même groupe liés par une communauté de destin (famille, village, profession, entreprise, nation, etc.) Cohésion, association, entraide, fraternité, sororité, responsabilité.

La solidarité, au sens chrétien, c’est la conviction selon laquelle chacun porte en soi le sort de l’humanité. « Une âme qui s’élève élève les autres ; et un esprit qui se pervertit corrompt également les autres », dit l’adage. L’humanité et la création tout entière porte en soi un germe de solidarité.« Tout est lié », dit le pape François dans l’encyclique Laudato sì.Le vrai salut parvient à l’homme à travers la solidarité évangélique.

«La solidarité nous aide à voir l'«autre» - personne, peuple ou nation - non comme un instrument quelconque dont on exploite à peu de frais la capacité de travail et la résistance physique pour l'abandonner quand il ne sert plus, mais comme notre « semblable», une « aide » (cf. Gn 2, 18. 20), que l'on doit faire participer, à parité avec nous, au banquet de la vie auquel tous les hommes sont également invités par Dieu. D'où l'importance de réveiller la conscience religieuse des hommes et des peuples ».

.Le bien commun est « l’ensemble des conditions qui permettent à tout homme et à toute collectivité et de mener une vie digne de l’homme. Mais pas à celle d’un animal ou d’un esclave »[8]. Pour Jean XXIII, le bien commun est « l’ensemble des conditions sociales permettant d’atteindre mieux et plus facilement son épanouissement ». « le bien commun concerne l’homme tout entier, avec ses besoins tant spirituels que matériels ». Benoît XVI « le bien du ’nous tous’ ». Bien commun est le croisement du bien-être de la communauté et celui de l’individu. Il faut retenir que, le bien commun apparait alors comme la condition fondamentale de l’équilibre entre personne et société. Au regard de ce qui précède, quelles valeurs éthiques pouvons-nous proposés pour une existence heureuse en Afrique.

 

3- IMPORTANCE  DE LA THEOLOGIE MORALE SOCIALE EN AFRIQUE EN VUE D’UNE EXISTENCE PLUS HEUREUSE

 

 

3.2  L’engagement pour la justice et la paix

            La loi nouvelle du Christ permet non seulement à l’homme de partager avec son prochain, mais elle permet aussi à l’homme d’être juste envers lui-même, son Dieu et envers son prochain en leur donnant ce qui leur revient[9]. Car, la justice fait partie des valeurs fondamentales de la vie sociale. En effet, la justice permet à l’homme de reconnaitre l’autre comme personne dans la société. Pour bâtir un monde d’amour et fraternel, les hommes sont appelés à pratiquer la justice dans toutes ses formes. Parce que, la justice n’est pas une invention humaine, elle n’est pas quelque chose surajoutée, mais elle fait partie intégrante de son identité humaine. »[10].

Fort de cela, la justice sert à harmoniser l’équilibre social parmi les hommes, afin de les aider à découvrir la solution des problèmes majeurs de leurs sociétés. En luttant contre ? La justice, les hommes cherchent à établir la paix et la réconciliation dans le monde de son temps. En conséquence, là où existe la justice il est possible que la paix y soit. La paix est un élément essentiel en matière de la dignité de la personne humaine. Car, la guère est un mal qui déshonorent le genre humain. Pour lutter contre cela, la tâche de la morale sociale serait de collaborer avec la politique afin de chercher la paix dans le monde. L’exemple de l’Eglise du Congo serait pour nous un exemple dans cette manière dans sa lutte depuis 2016 pour la démocratie et pour la paix de son pays. Par ailleurs, avant que la paix s’installe dans le monde, il faut que chacun considère son prochain, sans aucune exception, comme un autre lui-même, tienne compte avant tout de son existence et des moyens qui lui sont nécessaires pour vivre dignement (Jc 2,15-16). Les chrétiens sont appelés à rivaliser l’amour entre eux pour que la paix habite notre continent africain. La paix est indispensable pour le développement d’une nation.

3.3 Le développement intégral de l’homme africain

Les hommes dans le monde et en Afrique en particulier symbolisent une grande importance. Les moments de leur vie, leurs esprits, les relations avec leur famille se sont des entités à développer. Pour le développement intégral de l’homme africain, il faudrait revoir avec délicatesse les secteurs importants de leur quotidien. Du point de vue éducatif, il faut donner à l’homme une formation adéquate qui lui permettra de se retrouver dans son future. C’est-à-dire, il faut mettre à sa disposition des écoles de bonne qualité, afin de lui permettre d’accéder rapidement à une nouvelle condition sociale et économique[11].

            En outre, pour le développement de l’homme africain, il est aussi judicieux de porter un secours de façon insistante aux jeunes, parce qu’ils sont l’avenir de la société. De ce fait, négliger les jeunes et les enfants c’est sacrifier l’avenir d’une nation. Pour ce faire, les jeunes eux-mêmes aussi doivent prendre conscience de leur avenir, de forger une personnalité qui leur permettront de prendre la relève de sa société. Car, lorsque murit la conscience de leur propre personnalité, poussés par leur ardeur naturelle et leur activité débordante, ils prennent leurs propres responsabilités et désirent être parties prenantes dans la vie sociale et culturelle. C’est en ce sens que la morale sociale doit  mettre accent dans le développement de l’homme africain.

            C’est dans ce domaine qu’elle peut  aider leurs frères, dans leur milieu de vie, de travail, de profession, d’étude, d’habitation, de loisir et de collectivité locale. En plus, l’Eglise doit travailler avec la politique ou le gouvernement dans le but de chercher le développement de tout homme et de tout l’homme. Aussi, que les catholiques experts en matière politique, affermis comme il convient dans la foi et la doctrine chrétienne, ne refusent pas la gestion des affaires publiques, car ils peuvent par une bonne administration travailler au bien commun et en même temps préparer la route à l’Evangile.

  1. 1.      La lutte contre la pauvreté et les conditions de vies inhumaines

L’Afrique, malgré ses grandes richesses naturelles, reste dans une situation économique de pauvreté. La pauvreté croissante en Afrique, l’urbanisation, la dette internationale, le commerce des armes, le problème des réfugiés et des personnes déplacées, les problèmes démographiques et les menaces qui pèsent sur la famille, l’émancipation des femmes, la propagation du sida, la survivance en certains lieux de la pratique de l’esclavage, l’ethnocentrisme et les oppositions tribales, font partie des défis fondamentaux des Africains.

L’option préférentielle pour les pauvres est « une forme spéciale de priorité dans la pratique de la charité chrétienne dont témoigne toute la tradition de l’Eglise…L’intérêt actif pour les pauvres qui sont, selon la formule si expressive, les pauvres du Seigneur, doit se traduire, à tous les niveaux, en actes concrets afin de parvenir avec fermeté à une série de reformes nécessaires »[12]

Les Africains doivent éviter des pratiques ou comportements telles que « le tribalisme, le népotisme, le racisme, l’intolérance religieuse, la soif du pouvoir, renforcé par des régimes totalitaires qui bafouent impunément les droits et la dignité de l’homme. Les populations brimées par des régimes et réduites au silence subissent en victimes innocentes et résignées toutes ces situations d’injustices ».[13]

 

  1. 2.      Promouvoir la bonne gouvernance et la justice sociale, comme conditions intrinsèques du développement

Les fondements d’un bon gouvernement doivent être établis sur la saine base de lois qui protègent les droits et définissent les devoirs des citoyens.[14] Les gouvernements africains doivent adopter des politiques appropriées, aptes à améliorer la croissance et les investissements, afin de créer des emplois. Ceci implique la poursuite des politiques économiques saines, l’établissement des propriétés concrètes pour l’exploitation et la distribution des ressources nationales parfois faibles, de manière à pourvoir aux besoins fondamentaux des personnes et assurer un partage honnête et équitable des avantages et des charges.

Les gouvernements ont en particulier, le devoir imprescriptible de protéger le patrimoine commun contre toutes les formes de gaspillages et de détournement réalisés par des citoyens dépourvus de sens civique et des étrangers sans scrupules. Il leur revient aussi de prendre les initiatives appropriées pour améliorer les conditions du commerce international.[15] La justice, le respect, et l’amour doivent être un impératif politique, pour un mieux être de l’Afrique.

Le rôle de l’Eglise en Afrique est de s’engager dans une mission de conscientisation et d’éducation sociale. Cet engagement vise aussi les classes moyennes. Eduquer les consciences des croyants. Recommandation d’une pastorale conjointe. Association des Laïcs et de clercs développant une communauté de base. Dénonciation de l’atteinte au bien commun. « Les injustices doivent être combattues et vaincues » Paul VI. Il est nécessaire d’éviter d’avoir recourt à toute forme de violence. En accomplissant sa mission de témoignage du Christ « jusqu’aux extrémités de la terre », l’Eglise en Afrique sera certainement soutenue par la conviction de la « valeur positive morale de la conscience croissante de l’interdépendance entre les hommes et les nations.

Le fait que des hommes et des femmes, en diverses parties du monde, ressentent comme les concernant personnellement les injustices et les violations des droits de l’hommes commises dans des pays lointains où il n’iront sans doute jamais, c’est un autre signe d’une réalité intériorisée dans la conscience, prenant ainsi une connotation morale »[16] C’est pourquoi « l’Eglise se soucie de la vie humaine en société, consciente qu’est de la qualité du vécu social, c’est-à-dire des relations de justice et d’amour qui le façonnent, que dépendent de manière décisive la tutelle et la promotion des personnes, pour lesquelles toute communauté est constituée »[17]

 

            En outre, la sauvegarde de l’environnement oblige tout homme à éviter en conscience tout ce qui pollue l’environnement et cause la désertification ; l’ensemble des atteintes graves qui menace l’écosystème tout entier et par conséquent la survie de l’humanité. A propos, le pape Benoit XVI, s’adressant à l’Eglise d’Afrique dira : « J’exhorte l’Eglise en Afrique à encourager les gouvernants à protéger les biens fondamentaux que sont  la terre et l’eau pour la vie humaine des générations présentes et futures et pour la paix entre les populations»[18].  Vu l’urgence de la protection de l’environnement, le pape François a publié l’encyclique Laudato Si ’’sur la sauvegarde de la maison commune’’ : « Nous avons besoin d’une conversion qui nous unisse tous, parce que le défi environnemental que nous vivons, et ses racines humaines, nous concernent et nous touchent tous. Tous, nous pouvons collaborer comme instruments de Dieu pour la sauvegarde de la création chacun selon sa culture, son expérience, ses initiatives et ses capacités. » [19]

 

CONCLUSION

Au terme de ce parcours, retenons que l’homme africain est un homme plein d’espoir et d’espérance au sein d’un continent accablé par tant de maux qui entravent son épanouissement. Une redécouverte de la théologie morale appliquée dans les divers domaines sociaux pourra amener les africains à une existence plus heureuse et plus épanouie.

 

           

                                                                                    Bonne lecture et excellente méditation                      

                                                                                                         Hermann OUAPO

 



[1] Ecclésia in africa 40

[2] [2] Cf Africae Munus n 24

[3] Smic ou S.M.I.C : salaire minimum interprofessionnel de croissance

[4]Cf. ZIKPI Kokouvi Paul, Note du cours, Théologie morale sociale, Abidjan Icma, p.9

[5]JEAN PAUL II, Encycl. Centesimus annus, 54 : AAS 83 (1991) 860.

[6]JEAN PAUL II, Encycl. Sollicitudo rei socialis, 41 :AAS80 (1988)571.

[7]JEAN PAUL II, Encycl. Sollicitudo rei socialis, 41 :AAS80 (1988)571.

[8]ZIKPI Kokouvi Paul, L’autorité ecclésiastique catholique et la justice sociale, L’Harmattan, Paris 2014, pp.100-108.

[9] Cf. CATECHISME DE L'EGLISE CATHOLIQUE n° 1807, Paris, Plon, 1992.

[10] LES DOCUMENTS DU CONCILE VATICAN II GS n° 26,  Abidjan, Paulines, 2012.

[11] Cf. LES DOCUMENTS DU CONCILE VATICAN II AA n° 12.

[12]  Jean Paul II, Exhortation Apostolique post-synodale Ecclesia in Africa, n° 44.

[13] Idem, Ecclesia in Africa, n° 117.

[14] Idem, Ecclesia in Africa, n° 112

[15] Jean Paul II, Exhortation Apostolique post-synodale Ecclesia in Africa, n° 113

[16] Jean Paul II, Exhortation Apostolique post-synodale Ecclesia in Africa, n° 138.

[17] Compendium de la doctrine sociale de l’Eglise, Paris cerf,  2007, p. 44.

[18]Benoit XVI, Exhortation Apostolique post-synodale AfricaeMunus, novembre 2011, page 38 n°80

[19] Pape  François, Lettre Encyclique Laudato si, Editions Saint Augustin-Afrique, n 14

 



11/04/2020
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